ATTAC

Citation :: Cassen, une ordure communiste bien dans la tradition bolchevique

[Valium]

Tous ceux qui trouvent "sympathique" le combat d'ATTAC feraient bien de se pencher sérieusement sur les propos tenus par leur président vénéré, Bernard Cassen le successeur de Jacques Nikonoff, et rapportés par le Point du 18 août (info transmise par Eric ABC) :

" L'autre grand ami de Cassen est le président populiste (Ah la langue de bois politiquement correcte de nos bons journalistes franchouilles!... Chavez est une ordure communiste, point barre ! ndValium) vénézuélien Hugo Cesar Chavez, dont la photo figure sur la cheminée de son bureau. « C'est un homme exceptionnel, s'enflamme Cassen. Un grand dirigeant. » La confiance est, semble-t-il, réciproque, puisque Chavez lui a demandé à plusieurs reprises des conseils. « Je me garde bien d'y répondre, explique Cassen. Sauf une fois. Quand il y avait eu une grève insurrectionnelle à PVDSA, la compagnie pétrolière. Il avait viré 17 000 traîtres (sur 42 000 salariés). Il m'a demandé ce que j'en pensais. Je lui ai dit en rigolant "Vires-en plus". En plus, tu as un argument béton, tu peux dire que tu suis les recommandations du FMI, qui prône un dégraissage des entreprises publiques. » "

Le ton est enjoué, ça le fait rire d'envisager comme ça le licenciement de 17000 "traîtres" (c'est le nom que les bolcheviques donnaient déjà aux ouvriers grévistes après 1917 sous la dictature lénino-trotskyste, parfois même ils les appelaient, avant de les exécuter froidement, "traîtres catholiques" parce qu'ils refusaient de travailler le dimanche) mais le personnage est tout à fait sérieux (c'est ainsi que Chavez a agi). Cela donne une petite idée du degré de liberté, et notamment des libertés syndicales, qu'un pays sous la coupe de crapules communistes comme Cassen connaîtrait. Un petit rappel au passage : jamais aucun pays sous domination communiste n'a connu la moindre liberté syndicale et encore moins le simple droit de grève (qui au passage est une conquête libérale du XIXème siècle, défendue par Bastiat contre les idéologues socialo-blanquistes de l'époque).

Le communisme est l'ennemi des pauvres et des prolétaires,

Le communisme est, comme son jumeau hétérozygote le nazisme, l'ami des parasites et des exploiteurs sociaux.

GBY
Saint-Louis