Kyoto : la fausse priorité !

ENVIRONNEMENT A la veille de l'application du Protocole, Washington réaffirme son scepticisme
Kyoto : la fausse priorité

PAR BJORN LOMBORG *
[15 février 2005]


Lorsque le Protocole de Kyoto entrera en vigueur, demain mercredi, les activistes du réchauffement climatique pourront se féliciter : c'est le traité international le plus cher de tous les temps, et ils ont réussi à faire du réchauffement de la planète une épreuve morale essentielle pour notre époque. Ils ont eu tort.

En effet, le réchauffement climatique est un phénomène bien réel, causé par les émissions de dioxyde de carbone (CO2). Mais les modèles existants montrent que nous ne pouvons pas faire grand-chose pour y remédier. Même si le monde entier (y compris les Etats-Unis) appliquait le Protocole à la lettre pendant tout le XXIe siècle, les effets seraient presque insignifiants : l'échéance serait simplement repoussée de six ans en 2100, au prix d'au moins 150 milliards de dollars par an.


Les plus touchés seront les pays en développement, plus pauvres et donc plus vulnérables. Pourtant en 2100, même selon les prévisions les plus pessimistes des Nations unies, les habitants de ces pays seront plus riches qu'aujourd'hui, et donc mieux à même de surmonter les difficultés.

Kyoto est donc une manière coûteuse de ne pas faire grand-chose, pour des personnes qui s'enrichiront encore, dans un lointain avenir. On est donc en droit de s'interroger sur le caractère censément prioritaire de cette entreprise.

Bien entendu, dans un monde parfait, nous n'aurions pas besoin de choisir nos priorités. Nous pourrions à la fois vaincre la faim, résoudre les conflits, arrêter les épidémies, fournir de l'eau potable, améliorer l'éducation et freiner les changements climatiques. Mais il ne nous est pas loisible de tout faire.

Dès lors, quelles doivent être nos priorités ?


Quelques-uns des plus grands économistes mondiaux – dont trois Prix Nobel – ont répondu à cette question au sein du Consensus de Copenhague en mai 2004. Ils ont conclu que le sida, la faim, le libre-échange et le paludisme sont les domaines où nous avons le plus de chances d'améliorer la situation avec l'argent dont nous disposons. La lutte contre les changements climatiques figurait tout en bas de leur liste. Le comité d'experts a même qualifié les initiatives dans ce domaine – y compris le protocole de Kyoto – de «mauvais projets», en raison de la lourdeur de leurs côtés au regard des avantages obtenus.

A mesure que l'économie des changements climatiques est devenue plus claire, les avertissements lancés au sujet du réchauffement de la planète se sont faits de plus en plus pressants. Selon le responsable du Panel des Nations unies sur le climat, c'est la survie de l'espèce humaine qui est en jeu.


De telles déclarations font les gros titres, mais elles ne riment à rien. Par exemple :

Lors d'une conférence organisée récemment à Exeter au Royaume-Uni, certains participants ont signalé une probabilité de 50-50 pour la disparition du Gulf Stream au cours du siècle à venir. Un tel scénario convient pour des films catastrophe tels Le Jour d'après, mais n'a aucun fondement ! Un intervenant a d'ailleurs résumé ainsi la situation : «Aucun modèle n'a pu montrer d'arrêt complet. On considère donc qu'il est peu probable que cela se produise au XXIesiècle.»


Récemment, une coalition d'organisations influentes pour l'environnement et le développement a affirmé que le paludisme serait renforcé par le réchauffement. En théorie, ce n'est pas faux, mais c'est sans compter les liens du paludisme avec la médiocrité des infrastructures et du système de santé. De fait, du XVIe au XVIIIe siècle, le paludisme était très important en Europe, aux Etats-Unis et même au nord du Cercle arctique. Ce n'est pas le froid qui en est venu à bout (puisque le climat s'est réchauffé), mais le fait que l'Europe et les Etats-Unis sont devenus riches et ont pu s'attaquer au problème. Au cours de ce siècle, les pays en développement devraient devenir plus riches, et le paludisme devrait donc plutôt diminuer.


On nous avertit de la montée des océans – environ 50 centimètres d'ici à 2100. Cette estimation est exacte. Et le phénomène posera évidemment des problèmes dans les basses terres comme au Bangladesh. Mais les esprits alarmistes oublient de préciser que le niveau des océans a augmenté au XXe siècle de 10 à 25 centimètres. Vous l'aviez remarqué ? La montée des océans au XXIe siècle sera plus importante et ne doit pas être banalisée ; mais le Panel intergouvernemental sur les changements climatiques estime que le coût total de l'adaptation représentera environ 0,1% du PIB.

L'argument de la «fin de la civilisation» est contre-productif pour tout débat public sérieux. Il donne l'impression que nous n'avons pas le choix. En réalité, nous pouvons choisir de faire des changements climatiques notre priorité absolue, ou bien de résoudre beaucoup d'autres problèmes entre-temps.


Il ne s'agit en aucun cas de suggérer que le laisser-faire serait l'attitude adaptée. Loin de là. Des milliers de personnes sont mortes à Haïti au cours de récents cyclones, mais ont été épargnées en Floride ; en effet, les Haïtiens sont pauvres et ne peuvent pas prendre de mesures préventives. Rompre l'engrenage de la pauvreté, en s'attaquant aux problèmes les plus pressants – les maladies, la faim et l'eau – est à l'évidence une bonne chose, qui permettrait également de réduire la vulnérabilité aux effets des changements climatiques.


Nous vivons dans un monde aux ressources limitées. Donner la priorité à certaines questions signifie donc la refuser à d'autres. Si nous avons une obligation morale, c'est celle de dépenser chaque dollar pour réaliser autant d'actions utiles que possible. Avec Kyoto, le monde dépensera 150 milliards de dollars par an, pour une amélioration minime à l'horizon des cent ans à venir. En comparaison, les Nations unies estiment que la moitié de cette somme suffirait à fournir de l'eau potable, un système sanitaire, des soins de santé et une instruction de base à tous les habitants de la planète. Que vaudrait-il mieux faire ?

Le réchauffement climatique est bien une épreuve morale pour notre époque, mais dans un sens différent. Nous devons vaincre cette obsession et commencer par nous soucier de problèmes plus urgents – et plus solubles.

* Architecte du Consensus de Copenhague, éditeur de Global Crises, Global Solutions et auteur de The Skeptical Environmentalist.

Citation :

SINGAPOUR (agence Reuters) - 16 fév 2005 - Contrainte insupportable pour Washington et Canberra, sauveur potentiel de la planète pour d'autres, le protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre est officiellement entré en vigueur mercredi matin.

Avec plusieurs années de retard, ce texte qui lie 141 pays est entré en vigueur à minuit heure de New York (05h00 GMT), accompagné de festivités organisées, notamment, dans la ville japonaise où il a vu le jour en 1997.

Ce document est le premier programme légalement contraignant destiné à lutter contre le changement climatique. Il s'inspire d'un plan lancé en 1992 au Sommet de la Terre de Rio, qui prévoyait à l'horizon 2000 la stabilisation des émissions de gaz à effet de serre à leur niveau de 1990. Cet objectif n'a pas été atteint.

Défaut majeur, pour certains, du protocole de Kyoto, il n'inclut pas, au moins jusqu'en 2012, des pays en voie de développement tels que l'Inde, la Chine et le Brésil, qui abritent pourtant plus d'un tiers de la population mondiale.

"C'est un grand pas en avant dans notre lutte contre ce qui constitue l'un des plus grands défis du 21e siècle: le changement climatique", a déclaré le secrétaire général de l'Onu, Kofi Annan, dans un discours préenregistré censé être diffusé lors de la cérémonie prévue à Kyoto ce mercredi.

"Le changement climatique est un problème mondial. Il exige une réaction mondiale, et concertée", a-t-il ajouté. "J'appelle la communauté internationale à faire preuve d'audace, à adhérer au protocole de Kyoto, et à se hâter de prendre les mesures nécessaires. Il n'y a pas de temps à perdre !"

LE POLLUEUR NUMERO UN HORS PROTOCOLE

Le pacte vise à ralentir la hausse des températures que beaucoup d'experts imputent aux émissions de gaz à effet de serre, qui pourrait provoquer une recrudescence des ouragans, des inondations et des sécheresses, et entraîner l'extinction de milliers d'espèces animales et végétales d'ici 2100.

Le niveau des mers pourrait également s'élever, menaçant les zones situées à très faible altitude, les villes côtières et les nappes phréatiques.

Aux termes de ce texte, les pays développés doivent réduire d'ici 2008-2012 de 5,2% par rapport à leur niveau de 1990 leurs émissions de gaz à effet de serre, et notamment de dioxyde de carbone, gaz émanant des combustibles fossiles utilisés dans les centrales électriques, les usines et les voitures.

"Kyoto fournit une base très solide pour notre politique en matière de changement climatique", se félicite Klaus Toepfer, chef du Programme des Nations unies pour l'environnement, qui y voit une première étape dans la lutte contre des modifications du climat potentiellement catastrophiques.

Mais Kyoto a été affaibli en 2001 par le retrait des Etats-Unis, le premier pollueur mondial, source de près du quart des émissions humaines de dioxyde de carbone.

Le président américain George Bush a estimé que Kyoto était trop coûteux pour l'industrie et qu'il avait tort d'exempter dans un premier temps - jusqu'en 2012 - les pays en voie de développement.

Les défenseurs du pacte estiment que les pays riches sont la principale cause de l'accroissement de 0,6 degrés Celsius des températures mondiales depuis la révolution industrielle, et qu'ils doivent donc prendre l'initiative en réduisant leur recours aux combustibles fossiles et en favorisant des énergies propres, notamment solaire et éolienne.

"Kyoto ne fera pas grand-chose en soi, mais il établit un plan d'action", souligne Kristian Tangen, directeur de Point Carbon, un groupe de réflexion sur l'écologie dont le siège se trouve à Oslo. "Mais il y a un vrai risque que tout l'édifice s'effondre après 2012."

DES SIGNATAIRES MAUVAIS ELEVES

Selon lui en effet, les grands pays en voie de développement - Chine et Inde en tête - sont peu susceptibles d'y adhérer à cette date si les Etats-Unis ne le font pas.

Bush a déclaré que de nouvelles recherches étaient nécessaires, jugeant les prédictions sur le changement climatique insuffisamment étayées.

Les Etats-Unis ont beau être montrés du doigt, de nombreux signataires du pacte - pour qui il acquiert mercredi valeur contraignante - sont eux-mêmes bien au-dessus des niveaux d'émissions de 1990.

L'Espagne et le Portugal étaient ainsi en 2002 à 40,5% au-dessus du niveau des émissions de 1990, l'Irlande à 28,9% et la Grèce à 26%, selon les chiffres de l'Onu. Par comparaison, l'Australie se situe à 22,2% au-dessus des niveaux de 1990, et les Etats-Unis à 13,1%.

Au Japon, première économie mondiale, les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté de huit pour cent par rapport à 1990.

Même s'il est scrupuleusement appliqué, le protocole ne réduira la hausse prévue des températures d'ici 2100 que de 0,1 degrés Celsius, selon les projections de l'Onu, soit peu de chose par rapport à un accroissement des températures d'ici 2100 que l'Onu évalue à entre 1,4 et 5,8 degrés Celsius.

Pour certains, toute réduction est bonne à prendre. Dans le Pacifique Sud, certaines îles pâtissent déjà de la hausse des niveaux des mers et voient des vagues géantes s'écraser sur leurs côtes, inondant des habitations.

Aux pôles et en montagne, les glaciers fondent plus rapidement, et certains experts craignent que le réchauffement climatique mondial n'entraîne la fonte définitive de banquises au Groënland et en Antarctique, qui provoquerait la hausse de plusieurs mètres du niveau des mers.

Dans les pires scénarios, les zones côtières du monde entier seraient menacées, et des villes telles que Londres, Shanghai, Bombay et New York inondées.

Bien évidemment, c'est un combat perdu d'avance, bien évidemment le protocole de Kyoto aura des effets minimes. Mais mieux vaut prendre le problème de front et prendre ce protocole pour un début d'étude et de lutte de ce phénomène. Reculer l'échéance ne sert à rien, voir sur le moment encore moins.
Bien évidemment cet argent pourrait réduire la faim dans le monde ou permettre à chacun d'avoir accès au soin. Mais franchement, on l'aurait déjà fait si il y avait déjà eu une volonté politique pour le faire, tu crois pas ?
Combien d'îles vont disparaitre, combien de personnes faudra-t'il déplacer ? Où ? Comment ? Que va devenir leur état, leur suprématie ? Qui va leur donner un territoire ? Quand on met l'argent, on trouve des solutions. Pas forcément la formule miracle, mais on y arrive. C'est un manque de volonté politique. Beaucoup comptaient sur le 1er pays de la planète, celui qui doit montrer l'exemple en temps normal et qui est de plus le 1er pollueur.
La vérité c'est que ceux qui vont patir le moins de ces changements, ce seront encore les pays les plus riches, les plus pauvres, eux, devront attendre la bonne volonté des autres pour leur venir en aide.
Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? C'est la question qui me torture le plus...

Moi je suis contre le protocole de Kyoto je trouve que se n'est pas suffisant

Les Océans ont monté tout le long du XXeme siècle et ont pollue comme il faut depuis le XIXeme soyons heureux qu'il y est un léger décalage.

Je suis du même avis, il n'est pas suffisant, mais nous sommes contraints de prendre ce qui nous est donné en pâture...

Je n'ai pas l'impression que certains lisent les infos sur ce forum.

Vous n'etes pas ici pour donner des impressions, mais des documents.

Si vous voulez donner des impressions, et écrire à chaque post des énormités d'un niveau de 6 ème, une seule adresse:

www.clanmarechaux.com

GBY.
Saint-Louis.

Citation :

Je n'ai pas l'impression que certains lisent les infos sur ce forum.

Vous n'etes pas ici pour donner des impressions, mais des documents.

Si vous voulez donner des impressions, et écrire à chaque post des énormités d'un niveau de 6 ème, une seule adresse:

www.clanmarechaux.com

Bah alors ? Où sont les beaux discours sur la liberté ?
Tu veux qu'on donne des documents ?
Pas de problème, tu as vu, je m'y mets. Mais un point m'échappe. je suis obligé de ne pas citer mes sources et me faire le relais d'une certaine propagande avant de poster ?

Citer ses sources permettent d'authentifier tes documents.
C'est un minimum si tu veux débattre.

GBY.
Saint-Louis.

Ahahaha. Tu te fous de ma [****] ? Je me réfère pas à des textes du FN ou des sources obscures sans référence, contrairement à toi...
Tu mets des lunettes noires quand tu es devant ton pc ?

Citation :

(agence Reuters)

Tu ne sais même pas te modérer sur ton propre forum, mon pauvre Louis...
Tu sais encore moins appliquer les règles que tu souhaiterais imposer à tous.
Arrête ton char.


[moderation by Saint-Louis]

Tu as oublié d'écrire Ben-Hur avant "char"...

Mes références venant du FN ???
Décidément tu fais une fixation...essaie d'oublier un peu Jean-Marie, je suis sur que ton palpitant s'emballera moins...

Si donc mes sources sont du FN, leurs contenus devraient t'etre facilement démontables...j'attends toujours...

GBY.
Saint-Louis.

j adore louis, orlov te brise en te balançant sous les yeux ses preuves et toi tu profites de ce post pour changer de sujet et d éviter le débat lancé!!

les preuves d orlov te génerait elle?

Oh oui , je suis brisé....

Le sujet étant le protocole de Kyoto.
Aucun pays européen ne sera en mesure de respecter ses engagements d'ici 2012.

Mieux vaut alors refuser ce protocole sachant qu'aucun rapport scientifique ne prouve un réchauffement concret de la planète, ou vaut-il mieux le ratifier et mentir sur ses intentions ?

Sim, tu es fatigant à poster tes impressions qui n'apportent rien sur le sujet.
Tu fais véritablement une fixation sur moi, serais-je ton idole ?

GBY.
Saint-Louis.

et voilà, Louis répond comme a son habitude afin de détourner le sujet facheux...
c'est fou autant d'aveuglement!
Ce qu'on aime bien ici c'est parler avec toi Louis, car quelque soit la preuve, tu ne bougera jamais d'opinion.
Un de tes auteur révisionniste affirmerait que la Terre est plate, tu nous tiendrais un discours que tu lacherai pas sur le fait que la terre est plate.

Reste dans le sujet s'il te plait, ici c'est Kyoto, confie tes états d'ame à quelqun d'autres.
Merci d'avance.
Si tu n'as rien à dire sur le sujet, tu peux passer ton chemin....

GBY.
Saint-Louis.

Tout le monde est d'accord pour dire que la Terre se réchauffe.
Tout le monde est d'accord pour dire que l'activité humaine y est plus ou moins pour quelque chose( tout dépend des rapports et test scientifique)

Néanmoins nous sommes responsable en partie quelque soit cette partie de se réchauffement, c'est notre planéte quelque soit notre pays pour encore un bon siécle (avant les colonisations spatiale mais on en est loin ). Donc nous nous devons de réparer les dégats que nous avons fait.

Pourrons nous respecter les normes de Kyoto? sa l'avenir nous le dira mais si nous avons la moindre petite chance de réparer nos erreurs
nous devons le faire. Les USA par la non-participation à cette éffort collectif ne respectent pas le bien-etre futur des génerations qui vont nous suivre. Que les européens ne puissent pas respecter dans les délais les normes de Kyoto est tragique je te l'accorde mais qu'on refuse de tenter une réparation de la planéte bleu est dramatique et un crime...

St Louis les merdes qui nous servent a faire de la croissance, du profit etc etc.... c'est tes enfants qui vont devoir les nétoyer personnellement je suis plutot pour : celui qui pollue nettoie.

LAGAFF.2 a écrit:

Tout le monde est d'accord pour dire que la Terre se réchauffe.
Tout le monde est d'accord pour dire que l'activité humaine y est plus ou moins pour quelque chose( tout dépend des rapports et test scientifique)

Faux Lafaff, aucune études scientifiques, n'est en mesure d'affirmer avec certitude que c'est à cause de l'activité humaine que le climat se réchauffe...

GBY.
Saint-Louis.

Vrai ST louis c'est pour sa que j'ai dit que l'activité humaine y etait pour plus ou MOINS (relit bien mon dernier post) quelque chose , apres c'est nous ou pas les premiers responsable tout dépend de l'etude scientifique.

De plus nous polluons est là est le principal argument réchauffement ou pas nous devons controler notre pollution nous ne savons pas les consequences de notre pollution dans l'avenir.

Ca doit etre un complot communiste qui tente par tout les moyens de reduire la capacité de production des etats unis

c est comme pour les ADM et les plutonien

Agitations des verts-rouges, effectivement...

Il est naturel que les socialistes aient pris comme bouclier l'écologie, ainsi ils peuvent dénoncer, l'avance technologique des américains.

Tellement déçus de leur défaite face aux américains, ces verts-rouges essaient par tous les moyens de les contrarier...et c'est vrai que les américains ont l'air trés perturbés par les agitations.

GBY.
Saint-Louis.

Les USA sont les plus gros pollueur si ils si sont si fort en technologie ils devraient participer à la baisse de leurs rejet de gaz en tout genre.
Sa n'est pas grave de voir les USA avec une superbe technologie à la contition qu'ils ne facent pas les idiots avec.


De plus toi par tout les moyens tu tente de faire chavirer le sujet vers une lutte idéoloqique( regarde ton dernier post)

Les américains représenteraient 25% des rejets de CO2 du monde ?

Soit.
Mais que font les pays qui représentent les 75% restant ?
Peux-tu me le dire ?

Ensuite, la Chine, L'Inde font partie des pays les plus pollueurs, est ce que quelqun leur dit quelque chose ?
Non.

Il faut préciser également que les américains représentent 25% de la production des biens de consommation du monde...

GBY.
Saint-Louis.

pas 25%; 30%

tu fait le calcul 300 millions d individu pour 30% des rejet mondial
le reste du monde 75% plus de 5 milliard d individu

dans les 75% des pays restant combien on signer les accord de quioto et s engage a le respecter

quel proportion cela represente il ?

la chine est l inde sont pour l heure moin polueur
et surtout moins riche
les etats unis ont les moyen de mettre en place une politique equilibré sur le long terme
comment convaincre ses pays si le plus gros polueur qui reste le pays le plus riche du monde refuse de ce lancer dans cette voie ?

Personne ne respecte le protocole de Kyoto, personne n'aura atteint ses objectifs de 2012...

Alors laisse tomber...

De plus, aucune étude serieuse rend responsable l'Homme du réchauffement de la planète...

Je te posterai l'action américaine vis à vis de l'environnement.
C'est autrement plus efficace que ce que veut faire l'Europe.

GBY.
Saint-Louis.

Bien alors l'activité humaine entraine de la pollution TOUT LE MONDE EST D'ACCORD SUR SA!!!!!! donc il est normal de corriger nos erreur que ce soit nous ou pas les principaux responsable "quand un gosse fait une annerie il répare son annerie".

Qui a fait des conneries ?

GBY.
Saint-Louis.

tu a parfaitement comprit ce que je veut dire si tu n'a pas comprit pose clairement ta question